Les Grecs se sont exprimés par voie référendaire sur le plan d’aide de l’Union européenne, de la Banque centrale européenne et  du Fonds monétaire international. A une large majorité, le peuple grec a voté contre. Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche, a rappelé à l’AFP que « la réponse du peuple grec aux négociations européennes sur la crise de leur dette nationale doit être entendue et impose la réouverture d’une nouvelle négociation équilibrée. Si le devenir de l’Union européenne passe par la prise en compte de la volonté des peuples, il revient aussi à Alexis Tsipras de ne pas oublier la vocation européenne de son pays qui a, dans les dernières décennies, beaucoup bénéficié de l’Union. Le PRG voit par ailleurs, dans la victoire du non, un désaveu du positionnement allemand et demande que le Président de la République française prenne la tête des discussions ».

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